Boutique en ligne: un must

Dans toute l’Europe, les expériences liées à la lutte contre le coronavirus ont montré que les commerçants qui étaient passés suffisamment tôt au numérique avaient un net avantage sur les autres: ils ont mieux résisté aux pertes de chiffre d’affaires. Pour tous les commerces stationnaires, il est grand temps d’agir.

En Suisse comme partout ailleurs, la pandémie a eu pour conséquence directe une véritable explosion du commerce numérique, avec une croissance de 35 à 40%, toutes branches confondues, enregistrée pour l’ensemble de l’année. De nouveaux groupes de clients ont découvert le commerce en ligne et ont commencé à commander par ce biais des produits qu’ils n’achetaient auparavant qu’en magasin. Les chiffres présentés par le marché en ligne Farmy.ch illustrent à eux seuls ce phénomène: durant l’année marquée par la pandémie de coronavirus, ses ventes ont augmenté de 170% (en allemand)!

Qui a suivi l’actualité économique relative au quatrième trimestre de l’année dernière aura constaté que des entreprises comme Ikea, Adidas, Inditex et d’autres multinationales ont toutes annoncé que le chiffre d’affaires réalisé dans leurs filiales avait, conformément aux attentes, fortement reculé en raison de la fermeture des magasins. En revanche, les achats en ligne ont bondi, permettant aux commerçants qui avaient misé assez tôt sur une stratégie multicanal de compenser en partie leurs pertes.

Le COVID-19 a changé la donne

Les commerçants ne disposant pas encore d’une boutique en ligne ou ne proposant qu’une offre en ligne très rudimentaire ont été à la peine pendant la période de (semi-)confinement, car la clientèle qui fréquentait jusqu’alors leurs filiales leur a échappé: ils n’avaient plus aucune possibilité de rester en contact avec elle. Il serait très risqué de persister sur cette voie et d’espérer un retour aux pratiques passées une fois que la pandémie aura été vaincue.

L’expérience de ces 20 dernières années montre que les consommateurs qui se sont habitués à un nouveau canal de distribution tendent à ne plus en changer. Dans la «nouvelle normalité» post-COVID-19, la vente en ligne occupera une place de choix. Et cette évolution va se confirmer à long terme.

Des obstacles qui n’en sont pas

Vendre sur Internet implique de maîtriser non seulement la technique mais aussi le jargon du commerce numérique, qui regorge de termes anglo-saxons: checkout, sales funnel, usability, etc. Néanmoins, pour créer une boutique en ligne, il n’est pas nécessaire d’être un as de l’informatique, ni d’investir de gros montants. Il suffit d’avoir de la volonté et un brin de créativité. N’importe quelle entreprise est capable de se lancer dans le commerce numérique – et d’en tirer profit.

Créer une boutique en ligne en 14 jours avec la Poste

La Poste propose un nouveau service aux commerçants qui souhaitent se lancer dans le commerce numérique. Moyennant un prix fixe, les commerçants profitent du solide savoir-faire de nos conseillers et d’agences suisses leaders dans le domaine de l’e-commerce. Grâce à ce service, ils peuvent commencer à vendre leurs produits dans leur propre boutique en ligne après deux semaines déjà. Les choix opérés dans le domaine technique permettent de garantir un fonctionnement à long terme, et donc un investissement durable.

Lors du développement du concept, nous avons eu à cœur de garantir un accès au commerce numérique aussi simple et rapide que possible, afin que les commerçants disposent au plus vite d’une base de départ solide pour assurer leur évolution future. Une fois ce premier pas accompli, ils peuvent engranger de précieuses expériences et s’engager peu à peu avec succès dans la voie du commerce numérique.

Pour en savoir plus, consultez le site «Une boutique en ligne en seulement deux semaines» ou contactez-nous directement via contact.